Sous la vaste rondelette translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids florissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, lentement mouvantes, notamment une vapeur dense qui refusait de dissiper. Ces dessins, nées des regrets cachés et non formulés, devenaient https://finnmqpol.csublogs.com/41346177/le-dôme-des-soupir