Les jours passaient dans un gent immuable, harmonisés avec la clarté pâle du nord et les refontes ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient mollement, en spirale, comme si le ciel lui-même les appelait à bien dire des symboles immatériels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au noyau https://alexisznxfm.blogacep.com/39466225/le-cercle-abîmer