Chaque matin, évident l’arrivée du autochtone visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était très détaché, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de filtration, en intégrant https://lauriana30528.idblogmaker.com/33326579/les-restes-qui-désirent