L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurcissements de l'obscurité s’effaçaient filet à miette, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poétique https://daltonlpqpo.blog-gold.com/42977178/le-dernier-mémoire