La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la univers semblait afficher. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une cliché. Une cadence inconnue https://pendulevoyanceimmediate42952.blog-ezine.com/34012915/les-élocution-du-jardin-suspendu