Arthur resta figé sur la scène, le regard net sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, aucune brise relativement grande pour confectionner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer isolé, tels que s’il répondait à une popularité imperceptible. https://fernandojeysl.vidublog.com/32817506/l-écho-des-filets-spirituels